Mise en place d’une adduction d’eau gravitaire
Association:
Nouvelle Planète
Les 1'288 habitants des hameaux de Marovato Nord et Sud auront accès à de l’eau potable à proximité de leurs habitations.
Histoire
Mise en œuvre
- Construction de l’adduction d’eau comprenant 10 bornes-fontaines
- Création, structuration et renforcement de capacités du comité d’eau
- Formations en technique/entretien et en dynamique organisationnelle
- Sensibilisation des villageois à l’entretien, l’hygiène et l’assainissement
| Localisation | Village de Marovato, commune d’Ankaranana, région d’Itasy, Madagascar, Madagascar - Afrique |
| Bénéficiaires | 1'288 habitants des hameaux de Marovato Sud et Nord auront accès durant toute l’année à de l’eau potable. Les bénéficiaires indirects sont les structures sanitaires de la commune qui noteront une baisse significative des consultations pour des maladies hydriques en provenance du village de Marovato et la commune rurale qui voit bondir l’accès à l’eau potable de sa population de 42% à plus de 52% (moyenne nationale est estimée à 40%) |
| Partenaire local | Dès le démarrage des activités de mise en place de l’adduction d’eau, une démarche de nomination et de structuration du comité d’eau se fera en parallèle. Les bénéficiaires éliront des représentants au nombre de trois minimum pour gérer les affaires courantes (entretien, réparation, respect du règlement, etc.). Pour le moment un comité transitoire présidé par Roger Antoine Randrianantenaina opère comme répondant du projet sous la tutelle des autorités locales. Une fois que le comité de l’eau sera suffisamment structuré et formé, il prendra le relais. La Mairie d’Ankaranana supervise et accompagne cette démarche et veille à ce que l’accord régissant cette transition soit respecté. |
| Coût total du projet | CHF 24'299.00 |
| Durée du projet | 1 an |
Contexte
L’ensemble de la population du village de Moravato s’approvisionnent actuellement en eau à la rivière Lilly, dans un canal d’irrigation agricole ou à des sources non-protégées polluées (excréments, pesticides, lessives, parasites transmettant la bilharziose, etc.) . Pour combler les 80 l de consommation d’eau moyenne par famille par jour, les femmes ou les enfants doivent prévoir entre 2h40 et 4h selon les hameaux. Les enfants ont besoin bien entendu de plus de temps, sans évoquer les effets néfastes sur leur corps et leur présence à l’école. Le traitement de l’eau est impératif pour éviter de contracter des maladies. L’assainissement de la situation au niveau de l’accès à l’eau potable est la priorité de Marovato.
Objectifs
- Faciliter l’accès des villageois à l’eau potable pour leurs besoins quotidiens
- Diminuer les trajets et le temps consacré par les femmes pour chercher l’eau
- Diminuer l’absentéisme des filles à l’école
- Réduire la prévalence des maladies hydriques liées à la mauvaise qualité de l’eau
- Permettre aux femmes de se consacrer à des occupations génératrices de revenus
- Améliorer la qualité de vie des villageois et lutter contre l’exode rural
Secteurs d'activité
Construction Environnement Infrastructure SantéMise en place d’une adduction d’eau gravitaire
Association:
Nouvelle Planète
Les 1'288 habitants des hameaux de Marovato Nord et Sud auront accès à de l’eau potable à proximité de leurs habitations.
Histoire
Mise en œuvre
- Construction de l’adduction d’eau comprenant 10 bornes-fontaines
- Création, structuration et renforcement de capacités du comité d’eau
- Formations en technique/entretien et en dynamique organisationnelle
- Sensibilisation des villageois à l’entretien, l’hygiène et l’assainissement
| Localisation | Village de Marovato, commune d’Ankaranana, région d’Itasy, Madagascar, Madagascar - Afrique |
| Bénéficiaires | 1'288 habitants des hameaux de Marovato Sud et Nord auront accès durant toute l’année à de l’eau potable. Les bénéficiaires indirects sont les structures sanitaires de la commune qui noteront une baisse significative des consultations pour des maladies hydriques en provenance du village de Marovato et la commune rurale qui voit bondir l’accès à l’eau potable de sa population de 42% à plus de 52% (moyenne nationale est estimée à 40%) |
| Partenaire local | Dès le démarrage des activités de mise en place de l’adduction d’eau, une démarche de nomination et de structuration du comité d’eau se fera en parallèle. Les bénéficiaires éliront des représentants au nombre de trois minimum pour gérer les affaires courantes (entretien, réparation, respect du règlement, etc.). Pour le moment un comité transitoire présidé par Roger Antoine Randrianantenaina opère comme répondant du projet sous la tutelle des autorités locales. Une fois que le comité de l’eau sera suffisamment structuré et formé, il prendra le relais. La Mairie d’Ankaranana supervise et accompagne cette démarche et veille à ce que l’accord régissant cette transition soit respecté. |
| Coût total du projet | CHF 24'299.00 |
| Durée du projet | 1 an |
Contexte
L’ensemble de la population du village de Moravato s’approvisionnent actuellement en eau à la rivière Lilly, dans un canal d’irrigation agricole ou à des sources non-protégées polluées (excréments, pesticides, lessives, parasites transmettant la bilharziose, etc.) . Pour combler les 80 l de consommation d’eau moyenne par famille par jour, les femmes ou les enfants doivent prévoir entre 2h40 et 4h selon les hameaux. Les enfants ont besoin bien entendu de plus de temps, sans évoquer les effets néfastes sur leur corps et leur présence à l’école. Le traitement de l’eau est impératif pour éviter de contracter des maladies. L’assainissement de la situation au niveau de l’accès à l’eau potable est la priorité de Marovato.
Objectifs
- Faciliter l’accès des villageois à l’eau potable pour leurs besoins quotidiens
- Diminuer les trajets et le temps consacré par les femmes pour chercher l’eau
- Diminuer l’absentéisme des filles à l’école
- Réduire la prévalence des maladies hydriques liées à la mauvaise qualité de l’eau
- Permettre aux femmes de se consacrer à des occupations génératrices de revenus
- Améliorer la qualité de vie des villageois et lutter contre l’exode rural